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quarta-feira, 1 de julho de 2009

La Religion du Bon Sens: A la doctrine de la Nouvelle Jérusalem Édouard Richer. Emmanuel Swedenborg. Maçonaria. Sociedade Secreta.


La Religion du Bon Sens: A la doctrine de la Nouvelle Jérusalem

Édouard Richer


Editora: Saint-Amand (Cher)


1860, Páginas: 504, 12 x 18, Capa Dura, couro, bom estado, em francês. em bom estado, couro, capa dura, saiba mais.

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um pouco sobre esse grande homem que foi RICHER (EDOUARD),


écrivain fécond et original, naquit à Foirmoutiers (Vendée) le 12 juin 1792. Envoyé en 1801 au collége de la Flèche, il en sortit en (803 pour entrer au prytanée de St-Cyr, où le gouvernement consulaire lui avait accordé une boume. Son aversion pour toute contrainte et tout travail réglé se traduisit bienlôt en une indiscipline qui obligea sa mère à le placer à Paris dans une maison d’éducalion privée et à l’en retirer bientôt après pour le mettre dans un pensionnat de Nantes.

Cette dernière tentative ne fut pas plus heureuse que les précédentes. Vif, opiniàtre, impatient d’un joug quel-conque, dominé d’ailleurs par un amour-propre que n’osait contrarier la tendresse maternelle, il s’échappa de son pensionnat au mois de mai 1809 et revint à Noirmoutiers, n’apportant quune éducation imparfaite. On le destina alors au commerce ; mais le travail assidu et aride qu’exigeait cette carrière fut peu de son goût. Quelques essais de traduction des,Vaits d’Young, du Caton d’Addison et du Village abwtdonnd de Goldsmith furent, vers ce temps, les premiers indices de la transformation inattendue qui allait s’opérer en lui. Les ouvrages de Bernardin de St-Pierre, qui tombèrent à la méme époque entre ses mains, complétèrent son initiation à une vie nouvelle, aussi active que la précédente avait été désœuvrée. Renonçant alors aux lectures frivoles, et encouragé par MM. Cuvier, Latreille et d’autres savants, il appliqua toutes ses facultés à des études sérieuses. embrassant particulièrement l’histoire naturelle et l’astronomie physique. Il avait à peine vingt ans lorsqu’il composa, de concert avec MM. Piet et Impost, une Statistique de Noirmoutiers, que l’un des auteurs imprima lui-nième avec une presse portative. Un amour contrarié lui suggéra vers la même époque le sujet de son poème, Victor et Amélie, qu’il ne publia qu’en 1816, et dans lequel il personnifia son amante et lui-mème.

Cet ouvrage fut généralement jugé, ainsi que les poésies qui le suivirent dans l’édition de 1817, comme les prémices d’un talent heureux et flexible. L’étude approfondie qu’il faisait depuis assez longtemps de l’astronomie mythologique lui inspira l’idée de combattre ta funeste influence qu exerçait l’ouvrage de Depuis sur les idées morales et religieuses. C’est ce qu’il fit dans son Essai sur Vert-gins des coustellat,ons anciees, livre sur lequel il a lui-méme porté, plus nn tard, un jugement sévère, mais juste, en convenant qu’il n’est que la réunion de quelques notes prises dans Bailly, Court de Gébelin, etc. ; que le style en est apprèté et que la conclusion n’est qû un lieu commun. Vers ce temps, Lally-Tollendal, voulant le faire entrer dans la diplomatie, lui offrit une place dans l’ambassade des Payr Bas. Richer, qui avait horreur de tout engagement propre à enrhatner sa liberté, refusa, en alléguant l’état de sa sauté.

L’année suivante (1819). préludant en quelque sorte aux travaux de philosophie morale et religieuse qui devaient l’absorber plus tard, il publia sou le titre de Voyage à la trappe de Beiilany, le récit de ses impressions à la vue des pieux successeurs de Rancé. Là sont consignées ses premières opinions sur le néant des affections terrestres et des agitatibni du monde. Cet écrit forme la ae livraison de sou Voyage piaoreagae dams à département d. la Loin-Infirieurs, publié en 1823. Peintre fidèle, coloriste brillant, Richer s’y est montré tout i la fois savant, artiste et historien irréprochable.

On y démèle encore le germe des idées qui devaient l’amener aux doctrines de Svedenborg. Il publia ensuite son Précis de l’histoire de Bretagne, où il put résumer en 470 pages tout ce que contient d’essentiel pour la généralité des lecteurs la vo-lumineuse collection des bénédictins. Les Cosmopolites et le pécheur, brochure qui succéda au Précis, ne devait d’abord, dans la pensée de l’auteur, que renfermer quelques notes destinées à aider un ami dans l’instruction de ses enfants ; elle devint insensiblement un livre aussi original par le fond que par la forme. Dans le Mot de l’énigme (1842, dont l’idée principale lui fut suggérée par la Science dirige de Law et par les ouvrages de St-Martin, Richer donne une explicalion de l’origine du mal. Des textes de l’Ecriture rapprochés de certains passages d’auteurs moins orthodoxes, lui fournissent les moyens de se livrer sur le péché originel à une discussion où il prodigue toute son érudition.

Plusieurs des écrits que nous venons de mentionner servent de transition à la nouvelle et définitive transformation que devaient subir les idées de Richer. Ceux dont il nous reste à parler la montreront complète et sans réserve. Le premier a pour titre : Guérisons opérées par madame de St-Amour. Ce fut eu 1838 que cette daine, fervent apôtre du swedenborgisme, vint à Nantes, précédée d’une réputation acquise par les cures qu’elle avait le don d’opérer, cures dues à l’influence qu’elle avait la force ou le talent d’exercer sur l’imagiuatioyde certains malades. Regardée par les uns cotti’me une sainte, par les autres comme une sorcière, elle trouva un ardent défenseur dans Richer, dont le livre, écrit de verve, est le fruit de cette conviction sincère que la véritable action spirituelle de l’homme est la prière ; que. par elle seule, il se met en rapport avec Dieu, dont il peut alors, dans certains cas, exercer la toute-puissence, etc. Richer en concluait avec une enliére bonne foi que les cures de madame de St-Amour étaient dues à l’efficacité de ses prières. Et en soutenant cette thèse, il ne faisait qu’appliquer les doctrines qu’il professait lui-méme çlepuis 1826, époque où il avait commencé son grand ouvrage qui devait former son testament religieux. Nous voulons parler de la Nouvelle Jérusalém, à laquelle, lorsqu’il en as ait jeté le premier plan sur le papier, il avait donné le litre d’Ea-amen critigae de la doctrine de la micelle Jérusalem. Il a fallu, certes, une foi bien vive et bien pro-fonde, jointe à un grand courage, pour se livrer pendant plusieurs années, tourmente par des souffrances aiguës, aux études et aux recherches qu’exigeait la comparaison des doctrines si di-verses et si confuses des sectes religieuses dont il est question dans cet ouvrage. L’analogie qu’il...

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